Le vélo solaire

  Garmin Varia Radar arrière pour vélo

Radar Garmin Varia pour véloBon et bien comme c’est Noyël, je me suis offert un petit radar arrière Varia de Garmin pour vélo avec son indicateur à led.

Vous me direz qu’un simple rétroviseur aurait pu faire l’affaire !

C’est vrai pour autant qu’on ait les yeux rivés dessus en permanence…
En même temps, le Garmin Varia Radar (RTL 50x) avec son indicateur (RDU) à led n’émet aucun son à l’approche d’un véhicule !!! Donc il faut lui aussi ne pas le quitter des yeux ! Pas fute fute chez Garmin ! Leur solution, coupler le radar arrière avec un de leur compteur compatible pour que enfin le système ne soit plus aphone… Malin chez Garmin 😉
Bref ! Mon premier contact avec le bidule est à l’image du design. Froid et sans grande passion. Mais là n’est pas la question. Le but de cet achat compulsif est de se faire sortir d’une flânerie passagère (typiquement sur une petite route de campagne) avant de sursauter, giflé par le vent frais du bolide qui vient de vous frôler !

Bon après l’incontournable mise à jour du logiciel… avec des outils Gramin franchement plus que moyen et une aide en ligne bien comme on aime. Je me réjouis, enfin, de faire partie de la grande famille Garmin ! Même si j’ai une douce impression d’être un numéro de plus avec du matos pas fini qui va être mis à jour au grès des bugs trop flagrants et des mouvements d’humeurs des « numéros » les plus virulents !

Petit test, je pose le radar sur un muret et roule en sa direction pour me rendre compte de l’effet lumineux de la lampe arrière (qui fait partie intégrante du radar Varia) sur un automobiliste. Grosse déception… la luminosité du feu arrière est trop faible et son « chenillard  à led» qui s’agit à l’approche de la voiture est insignifiant, voir risible.

Ah ! Oui, là encore une petite finesse pour les novices… Il y a la version du radar arrière Varia RTL 500 et RTL 501 ! La version RTL 501 ne permet pas le mode clignotant du feu arrière car interdit dans certains pays. Mais la version RTL 500, elle permet de choisir ! Mode clignotant ou pas. Dans mon test, comme la loi me l’impose, j’étais en mode non clignotant…Le mode le moins sécurisant (car moins voyant) et également le plus énergivore 🙂

Pour la qualité de la détection des voitures, je me prononcerai qu’après une utilisation intensive. Mais en attendant, comme je n’ai rien à défendre, ni à vendre… je n’ai pas pu me retenir de partager ces quelques rapides et décevantes observations !

  En résumé :

Un radar pour vélo, c’est une superbe idée 🙂 Mais il reste encore du job pour le rendre sécurisant et efficace.

Ne désespérons pas, Garmin est notre ami 😉

Grrrr…

J’adore les rétroviseurs pour vélo de Busch & Müller (BM) mais je déteste quand je dois les réajuster et que soudainement ils ne tiennent plus en place ;-(

Dans ces moments là, j’ai pas vraiment envie de sortir ma trousse à outil pour retrouver cette fichue microscopique clé Allen que je perds toujours 😉

Alors voici ma proposition sans clef Allen :

 

Matériel nécessaire :

1 écrou M4 de sécurité
1 écrou M4 à ailettes
2 écrous M4 percés au diamètre de ~4.1mm
1 vis M4 à tête Hexagonal, longueur 25mm

 

Dans l’ordre :

  1. Passer la vis M4 longueur 25mm au travers des deux demi coques qui tiennent la boule de réglage du rétroviseur.
  2. Glisser les 2 écrous M4 percés sur la vis.
  3. Viser l’écrou M4 à ailettes.
  4. Terminer en visant L’écrou M4 de sécurité en commençant par la partie « plastique » (voir photo).

 

Lors de fortes et longues pentes où la vitesse est réduite, le moteur a tendance à se transformer en marmite à vapeur…

Alors comment faire pour ne pas « vaporiser » le bobinage ???

Voici deux pistes à explorer :

  • le refroidissement à huile
  • le refroidissement à air

 

Premiers résultats pour le refroidissement à huile :

Avantages :

  • thermiquement efficace (l’huile crée un contacte thermique entre le stator et le boitier du moteur).
  • lubrification du réducteur.

Inconvénients :

  • puissance perdu dans le brassage du bain d’huile (environ 120Watt à pleine vitesse).
  • légères fuites d’huile, difficile à éviter en roulant.
  • fuites d’huile garanties pendant les transports ou une inclinaison excessive du vélo.

Les résultats du refroidissement à air suivront… hi

Pour ne pas me prendre les poiles des mollets dans l’engrenage « infernal » des pignons, chaines et autres parties mobiles du bicycle solaire !
Et bien il n’y a que deux solutions !

Un l’épilation ou deux cacher tout ça 😉

Comme je n’ai pas trop envie de me transformer en chippendales, j’ai choisi la deuxième 😉

1er étape réaliser un chablon en carton

Puis reproduire la forme sur le matériel définitif

 

Pour atténuer l’effet du temps (dans les deux sens du terme), une petite couche de protection salvatrice s’avère nécessaire 😉

Sinon… soupe à la grimace garantie 🙁

Mais avant la pintura, il va falloir improviser une petite cabine de giclage.

Et surtout s’équiper correctement !

  vidéo de la fabrication du vélo solaire

Sur cette video, vous verrez quelques-une des étapes de fabrication du vélo électrique solaire Bikeproof. La plupart des pièces ont été fabriqué à la main avec des machines outils conventionnelles. A savoir : tour, fraiseuse, perceuse, pointeuse, poste à souder TIG, etc…

De la conception CAO à la réalisation, tout a été fait de la façon la plus autonome possible. Bien évidement, cela a nécessité l’apprentissage de nouvelles techniques et technologies, m’obligeant à me renseigner et me former auprès des professionnels des différentes branches.
Une chose est certaine, ce petit vélo couché solaire m’aura permis d’étoffer mes compétences dans une multitude de domaine. Et rien que pour ça, je recommencerais immédiatement ce beau chalenge !

Et bien voilà un beau défi !

Comment placer la plus grande surface de panneau solaire sans déstabiliser le vélo ?
Comment rendre la fixation des panneaux aussi robuste et légère que possible ?
Comment rendre cette structure orientable et stable ?
Que de questions 😉

Bon et bien au boulot 🙂

Je poste dès que j’ai quelque chose de présentable 🙂

 

  Le toit solaire

Il devrait délivrer en conditions optimales 200W.
Dans la pratique, c’est une toute autre histoire 😉

1) La connectique :

Les panneaux sont connectés en série et leur charge est régulée en permanence par un mppt (maximum power point tracking) qui cherche le meilleur rendement du système. Ce mppt transfert également Continuer la lecture

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