Le toit solaire

Il devrait délivrer en conditions optimales 200W.
Dans la pratique, c’est une toute autre histoire 😉

1) La connectique :

Les panneaux sont connectés en série et leur charge est régulée en permanence par un mppt (maximum power point tracking) qui cherche le meilleur rendement du système. Ce mppt transfert également l’énergie des panneaux aux batteries en adaptant courant et tension. Malheureusement, dès que l’on « bidouille » avec de l’électronique on a toujours quelques pertes.

2) L’ensoleillement :

Sous nos latitudes on peux compter sur un ensoleillement d’environ 1000W/m2. Les données fabriquant donnent 200W pour un tel ensoleillement. Mais attention l’orientation du panneau doit être absolument perpendiculaire au soleil sinon la valeur s’effondre. Il y a aussi l’effet d’ombrage, une petite cellule ombrée sur votre panneau et hop plus de courant !!!! Comme dans mon cas j’utilise deux panneaux en série, il suffirait qu’un seul soit ombragé pour que le rendement chute. Pour pallier à ce problème j’ai monté une diode by-passe en parallèle de chaque panneaux.

3) La mesure :

Pour avoir une idée précise du rendement du système, le plus simple est de mesurer l’ensoleillement (en W/m2) avec un appareil de mesure dédié et de comparer cette valeur à celle injectée par le mppt dans la batterie. Avec mon système, pour un ensoleillement de 1000w/m2 j’ai obtenu 160W TTC 😉

Sur cette image le « solar meter » donne l’intensité solaire en w/m2

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